Les microplastiques entrent dans les agrégats de planctons, qui sont ensuite ingérés par des poissons et remontent la chaîne alimentaire. Des scientifiques de trois laboratoires implantés à Toulouse ont été les premiers à utiliser la microscopie à force atomique pour étudier le problème. Dans des travaux publiés dans la revue Science of the Total Environment, ils ont confirmé l’existence d’un mécanisme où la présence de microplastiques favorise l’agrégation des microalgues et en ont découvert un second, jusqu’alors inconnu.