Dans des espaces confinés, les cellules modulent leur prolifération grâce à des mécanismes méconnus. En étudiant des cellules de levure de boulanger, des scientifiques ont découvert qu’une augmentation de l’encombrement dans celles-ci est liée à une diminution de la production de protéines. Publiés dans Nature Physics, ces travaux présentent de nouvelles pistes pour l’étude de tumeurs solides, qui sont justement confinées dans des organes.